Acte de mariage, de Jean Pierre Rosier (1768-…) et Marthe Cousseran (1783-…).

Référence personnelle  000125
P00069 (obsolète)
Référence externe  AD47 4E180/3
Type de document  Acte de mariage
Date de création  6 février 1806
Lieu de création  Monheurt, Lot-et-Garonne, France
Individus concernés  Cousseran (Marthe) (1783-…)
Rosier (Jean Pierre) (1768-…)

Transcription

Fidélité à l’original : Texte Original

Du sixième jour du mois de février, l'an mil huit cent six.

Acte de mariage de Pierre Rosié, âgé de vingt huit ans, né à Aiguillon le vingt sept octobre mil sept cent soixante dix huit, fils majeur et légitime de Jean Rosié et de Marie Lebrère, domicilié en cette commune d'une part;

Et de Marthe Cousseran, fille majeure et légitime de Joseph Cousseran et de Jeanne Duleau, née à Saint Léger le vingt trois octobre mil sept cent quatre vingt trois, domiciliée de cette commune d'autre part.

Les actes préliminaires, dont extraits des registres des actes de publications de mariage faites en cette commune, sans qu'il ait été formé aucun empêchement ni opposition, sur la porte de la mairie les dimanches vingt six janvier et deux février derniers et des actes de naissances des dits futurs époux, le tout en forme de tous lesquels actes il a été donné lecture par moi officier public de soussigné, ainsi que du chapitre VI du code civil intitulé du mariage. Ledit Pierre Rosié, ainsi que Marthe Cousseran, futurs époux, ont déclaré prendre en mariage, l'un Marthe Cousseran, l'autre Pierre Rosié, en présence de Pierre Dallet père, propriétaire, âgé de soixante six ans, d'Étienne Dallet fils, agriculteur, âgé de trente ans six ans, d'Antoine Péjac, laboureur, âgé de trente sept ans, et de Pierre Vissière, cultivateur, âgé de trente cinq ans, domiciliés de Monluc, communes de Monheurt et de Saint Léger, tous amis des parties et non parents, après quoi, moi, Jean Anduran, maire de la commune de Monheurt faisant les fonctions d'officier public de l'état civil, a prononcé qu'au nom de la loi, lesdits époux sont unis en mariage et ai dressé le présent acte, en ai donné lecture, lequel les témoins, non les époux qui ont déclaré ne savoir de ce par moi requis.